

Jeudi, nous prenons le Taxico pour nous rendre au Marin. Nous avons pris rendez vous chez le coiffeur. Pour moi coupe très courte (Jmi ne veut pas prendre le risque de me couper les cheveux, le grand lâche!!) et pour Jmi la récupération des diverses coupes que j’ai pu lui faire ces derniers mois.
La coiffeuse est pliée en deux en voyant le résultat et a fait de son mieux pour récupérer mes bêtises. Elle nous a dit qu’en marchant vite cela ne se voyait pas trop.
Mais je ne suis pas coiffeuse………….je vendais des billets à la SNCF………….
Jeudi soir, A et F (qui sont toujours au ponton au Marin et espèrent pour plus longtemps) viennent nous chercher en voiture et nous allons dans une petite Pizzeria ‘Oasis Pizza’. Quatre tables sous un auvent, Établissement tenu par un couple d’Italiens de Rome, Antonio et Angela, qui sont là depuis une huitaine d’années. Ils parlent un très bon Français (voir peut être aussi un peu de créole) mais toujours avec cet accent Italien que Jmi et moi aimons tant.
Ils ont tout lâché à Rome (apparemment ils avaient des entreprises et une vie très luxuriante) par peur de perdre leurs vraies valeurs et essaient ici de retrouver ici la vie à laquelle ils aspirent.
Délicieuses pizzas au jambon, mozzarella et roquette. Ils font venir tous leurs produits directement d’Italie par avion.
J’en profite pour faire d’énormes bisous à nos grands Amis Italiens, Fabio, Ginetta et Massimo qui nous ont si bien reçus quand nous avons été les voir au mois de novembre 2010.
Nous finirons la soirée dans un petit Lolo, où un orchestre joue de la biguine.


Ce soir il s’agit de jean Michel Cabrimol et La Maafia (pour les 2 a c’est normal).
Une immense foule, pour la majeure partie des locaux, se presse autour de ce café. Tout le monde se met à danser.
Nous avions énormément aimé Bwa Mabi la semaine dernière (musique très différente). Je dois tout de même reconnaître que ce groupe joue une musique dansante et rythmée. Il y a surtout des cuivres et apparemment ils sont très connus.






Nos chemins vont souvent se croiser, car jusqu’à Cuba nous avons à peu près le même parcours.

Je n'aime pas du tout faire cela, surtout pour le redescendre, mais tous c'est bien passé.