

C’est une Marina construite il y a moins d’une année et qui concentre surtout de grosses unités.
Énorme catamaran, immenses voiliers et nous voilà Ti Corail et Balafenn avec nos petits bateaux….







Et de plus plein de places de libre ce



Mardi, nous attendons notre jeu de voiles pour le début d’après midi. Il faut dire qu’il était temps de faire quelque chose car la Grand voile est déchirée dans le bas et le Génois devient de plus en plus transparent. Elles ont tout de même presque 6 ans ce qui est d’après mon Capitaine une durée de vie tout à fait normale.
Mercredi matin, pas de nouvelles de nos voiles. Jmi commence à s’énerver et contacte le voilier.
Soit disant que la veille il y avait trop de vent? Enfin ils viennent en début d’après midi et commence à descendre les vieilles voiles pour installer les toutes belles.
Il faut dire que nous voyons tout de suite la différence ne serait ce que par la couleur et l’épaisseur du tissu.
Un petite problème rencontré sur la grand-voile, va nous obliger à attendre quelques jours. Ce n’est pas grave et ils trouvent vite la solution.(en vérité c’est Jmi qui leur a donné l’idée)
Avec Ti Corail, nous décidons de rester quelques jours de plus.
Ces journées vont être occupées à du nettoyage de haut en bas et de droite à gauche.
Tout va y passer, l’intérieur, l’extérieur, du bricolage à ne plus savoir qu’en faire.
Il ne faut pas croire que la vie sur un bateau est de tout repos.
Nous faisons la connaissance de Catherine et Marcel du Catamaran « Phase II. »
Marcel est ancien boucher charcutier de la région de Dijon (il a même été élu un des meilleurs bouchers de France).
Mercredi, petite soirée sur Phase II jusqu’à 1h du matin.
Jeudi, petite soirée sur Ti Corail jusqu’à 2h du matin

Heureusement que nous ne côtoyons pas tous les bateaux car la vie deviendrait vite une vie nocturne.



Cette semaine j’arrête le blog à samedi car dimanche nous allons prendre la direction du Venezuela et tout d’abord les îles Testigos que nous avons déjà survolées l’année précédente puis les îles de la Blanquilla que nous ne connaissons pas encore.
Pendant un petit mois nous n’aurons pas de communication avec l’extérieur, pas de téléphone et encore moins de réception Internet. Ce sont des îles presque désertes uniquement habitées par les pêcheurs Vénézuéliens locaux.
Alors je vous dis à dans un mois quand nous aurons rejoint le continent Vénézuélien et la marina de Puerto La Cruz.